HISTOIRE DE LA CRÉATION DE LA FIGURINE de collection

La collection épique Guerriers du Moyen Âge réunit les figurines de qualité musée de 54 mm, reproduisant les combattants des pays européens de différentes périodes médiévales. Grâce à un travail minutieux avec les archives des plus grands musées d’Europe, ces figurines rares, peintes à la main, extrêmement détaillées, reconstituent avec la plus grande fidélité possible les équipements des soldats médiévaux : les hommes d’armes, les coutiliers, les brigadiers, les francs archers, les arbalestiers…

De beaux livrets accompagnent les figurines pour fournir des informations indispensables sur chaque personnage et son époque.

Une collection unique et précieuse à commencer dès maintenant !

LES FIGURINES DE GUERRIER À COLLECTIONNER

BERTRAND DU GUESCLIN

v. 1369-1380

Héros de la guerre de Cent Ans

ÉDOUARD DE WOODSTOCK

1330-1376

« Prince Noir » de la guerre de Cent Ans

LE TEMPLIER

1147-1149

Figure emblématique de la deuxième croisade

LE CHEVALIER GERMANIQUE

1189-1192

Soldat de la troisième croisade

RICHARD IER DIT « CŒUR DE LION »

1157-1199

Roi d’Angleterre, duc de Normandie, d’Aquitaine, comte de Poitiers, du Maine et d’Anjou

CHARLES V DIT « LE SAGE »

1338-1380

Roi de France

ROLLON

850-932

Le Viking vagabond

GUILLAUME LE CONQUERANT

1027-1087

Roi d’Angleterre et duc de Normandie

L’ARBALETRIER GENOIS

1369-1389

Mercenaire et soldat du XIVe siècle

Afin de savoir si vous pouvez trouver notre collection dans un kiosque près de chez vous, téléchargez la liste des kiosques pour le deuxième numéro de Guerriers du Moyen Âge : LISTE DES KIOSQUES N°2

Si vous ne disposez pas de kiosque près de chez vous, n’hésitez pas à vous abonner ou à vous procurer l’un des numéros sur notre site internet totalement sécurisé.

LA FIGURE HISTORIQUE DERRIÈRE LE HEAUME

Bertrand du Guesclin
v. 1320-1380
Héros de la guerre de Cent Ans

Une reproduction rare de l’un des chevaliers les plus célèbres de l'histoire médiévale mondiale, un éminent chef militaire de la guerre de Cent Ans, qui permit à la France de s’imposer contre l’ennemi anglais et de récupérer les territoires perdus.
POUR EN SAVOIR PLUS
Bertrand du Guesclin
1369-1389
Héros de la guerre de Cent Ans

Lors de la réalisation de votre figurine, la reconstitution de l’apparence physique, des vêtements et des armes de Bertrand du Guesclin a été réalisée d’après les enluminures de manuscrits des XIV-XVe siècles tirées des Grandes Chroniques de France, des Chroniques de Jean Froissart, de la Chanson de Bertrand du Guesclin et de la Chronique ou Roman de Bertrand Du Guesclin du trouvère Jean Cuvelie. Admirez chaque détail de votre figurine : le visage déterminé de Bertrand du Guesclin, son tabard orné du blason du seigneur de la Motte-Broons, la fine lame de son épée.

La première victoire qu’a permis Bertrand du Guesclin est celle de l'armée franco-bretonne en 1364 lors de l’avènement de son roi, Charles V. Les succès s’accumulent pour ledit roi grâce à son fidèle commandant, Bertrand du Guesclin : il remporte ainsi la victoire en 1369 contre les Anglais et obtient la mort de Pierre le Cruel, soutenu par le Prince Noir.

Surnommé le « Dogue noir de Brocéliande », il devient connétable en 1370 et la même année terrasse la chevauchée anglaise dans le Maine. Héros de la guerre de Cent Ans dont la grande entreprise a été d’expulser les anglais, Bertrand du Guesclin meurt au combat face à une armée de routiers en juillet 1380.

La prise du château de Pestivien. Illustration issue de la chanson de Bertrand du Guesclin de jean Cuvelier (vers 1380-1392)

 Le siège de Melun. Illustration issue de la Chanson de Bertrand du Guesclin de jean Cuvelier.

La remise de l’épée de connétable à Bertrand du Guesclin en 1369. Illustration issue des Grandes Chroniques de France par Jean Fouquet (vers 1455-1460).

Bertrand du Guesclin, fait connétable de France par le roi Charles V.

Édouard de Woodstock
1330-1376
« Prince Noir » de la guerre de Cent Ans

Une splendide figurine du redoutable prince-guerrier hériter du trône d’Angleterre, ce stratège reconnu, considéré dans son pays comme un chevalier exemplaire, qui a semé la terreur dans les campagnes françaises durant de nombreuses années.  
POUR EN SAVOIR PLUS
Édouard de Woodstock
1337-1360
« Prince Noir » de la guerre de Cent Ans

Celui qui fut nommé, à l’âge de huit ans, le « gardien du royaume », prend vie à travers cette fidèle reproduction, réalisée sur la base de nombreuses gravures et autres documents historiques. Les couleurs de sa tunique, partagée entre les lys sur fond bleu et les lions d’or sur fond rouge, sont celles de ses armoiries, qui reflètent la revendication du roi Édouard III au trône de France. Muni de son épée, Édouard de Woodstock attend l’assaut et se prépare à entrer dans la bataille de Poitiers.

Lord grand intendant, Édouard de Woodstock connaît sa première grande bataille à Crécy en 1346 en tant que commandant de l'aile droite de l'armée anglaise. Fils d’Édouard III, il gouverne la Guyenne au nom de son père et mène de nombreuses chevauchées en pays ennemi : en 1355 en Languedoc où il ne rencontre pas de résistance ; puis en 1356 à Tours. Lorsque Jean II décide d'agir contre lui, s’amorce la bataille de Poitiers le 19 septembre 1356. Le Prince Noir capture alors le roi Jean II et le royaume de France se retrouve privé de chef. Par le traité passé avec la France, le Prince Noir obtient de son père en 1362, l’Aquitaine et devient ainsi Prince d’Aquitaine. Il meurt en 1376 après avoir ravagé une grande partie de la France par ses chevauchées.

Le Prince Noir est une figure emblématique de l’ennemi anglais : il est rendu responsable de la situation et l’opinion publique le hait. Plus qu’une guerre entre deux pays, c’est une guerre entre deux peuples où l'Anglais, incarné par le Prince Noir, devient l'ennemi.

Le tombeau du Prince Noir se trouve dans la cathédrale de Canterbury.

Édouard de Woodstock est nommé prince d’Aquitaine par son père, Édouard III.

Effigie du Prince Noir.

Le Templier
1147-1149
Figure emblématique de la deuxième croisade

Une représentation saisissante de l’iconique Templier, la figure guerrière la plus fantasmée de la guerre sainte. Ayant pour mission originelle l’accompagnement des pèlerins au Temple de Salomon, à Jérusalem, le Templier prend part aux croisades et devient, au fil des siècles, un personnage de plus en plus romancé, à l’origine de maints mythes et légendes.
POUR EN SAVOIR PLUS
Le Templier
1147-1149
Figure emblématique de la deuxième croisade

Vivez l’histoire à travers cette figurine représentant dans ses moindres détails la tenue et l’armement du Templier. Reproduit à partir de documents historiques, le Templier s’apprête à entrer dans la bataille, la cape de son tabard au vent, la lance et l’écu en position défensive et le casque lui protégeant le visage.

Objet de nombreuses légendes, accusé d’hérésie, soupçonné d’influencer les plus grands par leur puissance et leur richesse, l’ordre du Temple est à l’origine un ordre monastique militaire qui œuvre pour la protection des pèlerins et de la foi chrétienne. Les Templiers étaient des moines mais aussi des soldats d'élite, dévoués à leur cause. La deuxième croisade lancée en 1145 par le pape Eugène III a permis à cet ordre d’intégrer les armées royales et de se battre à leurs côtés alors que le royaume chrétien de Jérusalem était menacé par les tensions internes à la région.

Deux templiers sur un cheval. Illustration issue de la Grande Chronique de Matthew Paris (1200-1259).

 

Le Chevalier germanique
1189-1192
Soldat de la troisième croisade

Une pièce de collection insolite du Chevalier germanique, un guerrier incontournable de la Troisième croisade, menée par l’empereur germanique Barberousse, le roi de France, Philippe Auguste, et le roi d’Angleterre, Richard Cœur de Lion.
POUR EN SAVOIR PLUS
Le Chevalier germanique
1189-1192
Soldat de la troisième croisade

Suivez les chevaliers saints au combat avec cette figurine aux couleurs riches, reproduite à partir de modèles historiques. Son blason, fièrement affiché sur son poitrail, arbore l’aigle à deux têtes et les couleurs noir et jaune du Saint-Empire romain germanique. Le plus illustre de ces chevaliers n’est autre que l’empereur lui-même qui, en 1188, provoqua le sultan Saladin en duel.

En 1187, l’appel du pape Grégoire VIII à la croisade en 1187, pousse l’empereur Frédéric Ier à se placer à la tête des chevaliers européens pour reconquérir les Lieux Saints. Il mène une armée près de 100 000 hommes dont 20 000 chevaliers issus de l’aristocratie laïque et ecclésiastique allemande. L’empereur et ses chevaliers assument lors de la troisième croisade la fonction de défenseurs de la religion chrétienne. Les batailles se suivent : Philopolis puis Andrinople, passage en Thrace, avancée en Asie mineure et projet de conquête byzantine. La mort de l’empereur provoque la disparition de la grande armée germanique. Seuls 300 chevaliers reviennent vivants de cette croisade.

Illustration issue du codex Manesse (vers 1305-1315).

Richard Ier dit « Cœur de Lion »
1157-1199
Roi d’Angleterre, duc de Normandie, d’Aquitaine, compte de Poitiers, du Maine et d’Anjou

Une effigie captivante de ce roi anglais, Richard Ier, figure essentielle de la deuxième moitié du XIIe siècle, qui a voué son règne à la défense de la chrétienté et au renforcement des possessions anglaises en territoire français.
POUR EN SAVOIR PLUS
Richard Ier dit « Cœur de Lion »
1157-1199
Roi d’Angleterre, duc de Normandie, d’Aquitaine, compte de Poitiers, du Maine et d’Anjou

Prenez part à la vie de Richard Ier, roi croisé accompagné de Philippe Auguste, roi de France et Frédéric Barberousse, empereur germanique, afin de reprendre Jérusalem. C’est grâce à son arrivée que le siège d’Acre prend fin après deux ans d’attente, par la prise de la ville en juillet 1191. Le nom de Richard Ier d’Angleterre devient tristement célèbre lors de la croisade, à cause de l’exécution qu’il ordonne de 3 000 prisonniers musulmans.

Le roi d’Angleterre gagne son surnom « Cœur de Lion » à force de courage et d’intelligence militaire : il se dédie à la guerre contre Philippe II pour sauvegarder son héritage Plantagenêt. Richard Ier est cité dans la Vie de Saint Louis par Joinville, pour sa vaillance face aux Sarrazins.

Rencontre entre Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion. Illustration issue des Histoires d’Outremer de Guillaume de Tyr (vers 1330-1340).

 

Charles V dit « le Sage »
1338-1380
Roi de France

Une imitation authentique de la figure emblématique du roi Charles V, qui par ses réformes actives de l’armée et ses stratégies militaires, parvient à mener une reconquête du royaume de France et à affirmer la dynastie des Valois face aux rivaux d'Angleterre et de Navarre.
POUR EN SAVOIR PLUS
Charles V dit « le Sage »
1338-1380
Roi de France

Accompagnez Charles V dit « le Sage » de son accession au trône, aux guerres menées contre l’Anglais. Héritier de l’œuvre militaire de son père, Jean II le Bon, le roi Charles V établit une série de réformes et organise l’armée en grandes compagnies afin de la rendre plus efficace face aux anglo-normands.

Roi respecté dans son royaume, il confisque la Guyenne et déclare la guerre à l’Angleterre en 1369 devant l’assemblée d’États généraux réunie à Paris. Accompagné de Bertrand Du Guesclin, il mène la guerre contre les Anglais. Face aux chevauchées du prince Noir et aux batailles menées contre Édouard III, Charles V le Sage réussit à reprendre une partie du territoire du français, réduisant ainsi les possessions anglaises dans son royaume.

Sceau du dauphin Charles, futur Charles V.

Source : Archives nationales (France)























Source : Blason du dauphin Charles, futur Charles V.



Rollon
890-910
Le Viking vagabond

Une réplique miniature du viking vagabond, Rollon, considéré comme l’un des personnages plus importants de l’histoire médiévale et fondateur du duché de Normandie.
POUR EN SAVOIR PLUS
Rollon
890-910
Le Viking vagabond

Personnage à l’origine de la lignée des ducs de Normandie, la vie et les origines de Rollon font l’objet de nombreux récits légendaires. Les différents chroniqueurs qui ont narré sa vie, Dudon de Saint-Quentin mais aussi Guillaume de Jumièges, content l’histoire d’un viking expulsé du nord, qui parcourt l’Occident tel un vagabond.

Rollon quitte, avec sa troupe de compagnons, le Nord dont il est originaire. Après des années de vagabondage, il reçoit du roi anglo-saxon, des soldats afin de ravager la région de la Frise. Il est décrit comme un personnage pillard qui sillonne le pays à la recherche de richesses. Rollon et sa troupe choisissent de s’installer dans l’estuaire de la Seine à la fin du IXe siècle. Après de nombreuses incursions, à Bourges, à Chartres et à Paris, Rollon, aidé ses « Normands de la Seine », obtient le duché de Normandie après le traité conclu avec le roi de France, Charles III.

Statue de Rollon dans le Calvados.

La tombe de Rollon dans la cathédrale Notre-Dame de Rouen.

Guillaume le Conquérant
1027-1087
Roi d’Angleterre et duc de Normandie

Une statue taille réduite du duc devenu roi, Guillaume le Conquérant, qui a opéré de nombreux changements dans la société et le royaume anglais, par ses réformes et ses conquêtes.
POUR EN SAVOIR PLUS
Guillaume le Conquérant
1027-1087
Roi d’Angleterre et duc de Normandie

Jeune duc de Normandie, Guillaume le Conquérant obtient ce nom par ses accomplissements militaires et diplomatiques, qui lui ont permis de se hisser sur le trône d’Angleterre. Il profite de la crise de succession et se fait nommer par le roi Édouard le Confesseur, l’héritier du trône d’Angleterre. Guillaume le Conquérant aussi surnommé Guillaume le Bâtard, livre bataille contre une ligue de noble menée contre lui et remporte la victoire lors de la bataille d’Hastings.

Le roi Guillaume devient alors l’un des plus puissants monarques de l’Europe occidentale constamment en conflit avec ses voisins à cause de ses conquêtes. Après s’être emparé du trône d'Angleterre, il envahit le pays de Galles et l'Ecosse. Il forge ainsi sa réputation et construit la force du royaume d’Angleterre. La guerre menée contre Philippe Ier, roi de France, consolide les acquis anglo-normands sur le territoire français.

Guillaume le Conquérant avec la bannière du pape, représenté sur la tapisserie de Bayeux (vers 1070).

Source : Détail de la Tapisserie de Bayeux - XIe siècle, cl. avec l’autorisation spéciale de la Ville de Bayeux.

 

L’arbalétrier génois
1369-1389
Mercenaire et soldat du XIVe siècle

Une splendide représentation de l’arbalétrier génois, mercenaire et soldat du XIVe siècle. Une figurine fabriquée à partir d’archives d’époque décrivant l’attirail de ce soldat : la mythique arbalète génoise mais également tout un équipement constitué d’une dague, d’un casque léger, d’un bouclier et de bien d’autres éléments.
POUR EN SAVOIR PLUS
Guillaume le Conquérant
1027-1087
Roi d’Angleterre et duc de Normandie

L’arbalétrier génois faisait partie d’un corps militaire au Moyen Âge, qui combattait pour défendre la République de Gênes, mais dont la particularité était aussi d’être des mercenaires, travaillant pour la nation la plus offrande. Soldat incontournable du bas Moyen Âge, on retrouve les traces de ces génois de la bataille de Bouvines aux batailles de la guerre de Cent ans, jusqu’à la première croisade. Au cours de la Bataille de Crécy, en août 1346, plus de 5 000 arbalétriers génois furent employés par les Français en première ligne contre les Anglais.

Bataille de Crécy durant la guerre de Cent Ans, œuvre de Jean Froissart (1337-1410).

HISTOIRE DE LA CRÉATION DE LA FIGURINE

L’histoire des figurines commence dans les plus grands musées dédiés au Moyen Âge ou à l’histoire militaire, comme le musée de Cluny ou le  musée de l’Armée, à Paris. Soucieux de proposer aux amateurs de figurines une reproduction fidèle du modèle original, les experts qui se sont  réunis autour de ce projet, historiens comme fabricants, se sont basés sur des documents d’archives pour concevoir la miniature conforme des chevaliers mythiques tels que Bertrand du Guesclin, Guillaume le Conquérant et bien d’autres.

Sur la base de cette documentation, l’équipe artistique, composée d’illustrateurs et de graphistes, a reproduit avec talent, du croquis à l’illustration 3D, chacun de ces guerriers, ne négligeant aucun détail.

Une fois l'illustration validée par les historiens, Macha Collection a lancé sa fabrication. Un sculpteur a d'abord sculpté une figurine à la main.  C’est elle qui servira à fabriquer un moule pour reproduire à ces figurines en alliage de 54 mm de haut (de la base de la figurine jusqu'au aux yeux). Chacune sera peinte à la main, étape indispensable pour réaliser des pièces de collection d’une grande qualité. Un travail de création non et minutieux pour un résultat à la hauteur des attentes des plus exigeants des collectionneurs.

VOTRE MAGAZINE SUR LES GUERRIERS DU MOYEN ÂGE

Le magazine de 16 pages qui accompagne chaque numéro est un véritable complément informatif, richement illustré. En plus de la description de la figurine, son contenu historique permet de situer chaque guerrier dans le contexte de son époque et de découvrir son histoire et les caractéristiques de son armement.

Divisé en plusieurs sections, ce livret imprimé sur un papier couché de qualité vous en apprendra davantage sur l’histoire de votre soldat, en retraçant son parcours et ses batailles. Les autres pages sont consacrées à la période historique concernée, aux batailles touchant de près ou de loin le héros de la collection et à l’histoire militaire générale du Moyen Âge.

Les sections de votre magazine :

  • Votre figurine
  • Le guerrier
  • Le contexte historique
  • Le lexique médiéval

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